Le dilemme pour tous!
je n’épiloguerais pas davantage sur cette délicate question, les journaux en sont pleins et « La Croix » ne sait plus où donner de la plume ! Ca va être « chaud » et encore plus » brulant » la semaine prochaine. C’est un moment crucial pour notre société.
Et pourtant,
des hommes et des femmes « de valeurs », Il y en a. Les journaux nous décrivent leurs engagements ou leur prise de position. Ils et elles semblent réfléchis, responsables, humbles, tolérants …tout simplement » humains ».
comme par exemple Jean-Marc Sauvé dont La Croix dresse un portait charpenté…je voterais bien pour lui si il se présentait !
Dilemme aussi dans l’Eglise
Grave question « faut-il bruler les œuvres du mosaïste Rupnik, accusé de nombreuses agressions sexuelles ? Le problème c’est qu’il y en a partout, au Vatican, à Rome, à Lourdes…chacun en voulait une chez lui puisque le pape Jean-Paul II en avait fait son céramiste de prédilection!
Maintenant, cette « exposition » devient intenable pour toutes celles ( et ceux ) qui ont subies ( ici j’ai fais l’accord au féminin, même si c’est une faute) des abus de tout ordre de la part de l’artiste. Pour beaucoup d’entre elles ( eux ), la destruction des œuvres pourrait peut-être les aider à avancer dans leur lente reconstruction.
Mais un certains nombre de prélats trouvent dommage de détruire cette immense œuvre, à défaut d’œuvre immense, car certains artistes trouvent son inspiration un peu « enfantine » et peu fidèle à l’esprit des mosaïques byzantines dont il prétend s’inspirer. Ils apportent l’argument qu’il faut dissocier la personne et son œuvre, arguant que Michel-Ange n’était pas un « ange » et que Le Caravage n’était pas non plus un enfant de chœur!
Moi , j’au une idée
Ne pourrait-on pas badigeonner toutes les œuvres en blanc, les faisant disparaitre aux regards pendants un temps de « pénitence » à définir. La mort de la dernière victime par exemple…Ainsi on ne détruit pas, mais toute l’Eglise se rend solidaire en acceptant ce « jeûne » .
Je vais en parler au pape !
Discrimination en Belgique !
Une femme, engagée dans l’Eglise, s’est dit « discriminée » par la hiérarchie de l’Eglise catholique de Belgique, car on lui a refusé de suivre les cours de préparation au diaconat! ( alors que les épouses de futurs diacres, les suivent ). Le tribunal lui a donné raison ! Cela va sans doute donner des idées à certaines.